Une fois n’est pas coutume ! À la faveur de la célébration de l’an 1 de votre mensuel préféré, il nous est apparu important et nécessaire, dans cet éditorial particulier, d’expliquer nos motivations, notre vision et nos attentes par des réponses à quelques questions de la rédaction.
Pourquoi « Échos des montagnes » ?
Dans les passionnantes discussions, souvent enflammées, que nous avons eues, pendant les nombreux jours et les longues nuits qui ont précédé la mise sur pied de ce tabloïde, il était question pour nous, en tant que natif du district des montagnes, d’apporter notre contribution à son développement. Ensuite, il fallait une communication de proximité en fournissant de l’information locale et de qualité. Enfin, il est aussi question de se mettre au service d’une importante œuvre de développement en accompagnant l’institution « District Autonome des Montagnes ». En outre, nous suivons son principal animateur, le Ministre, Gouverneur, Dr Albert Flindé. Il faut le reconnaître, le premier président de cette institution dans l’ouest montagneux a cru, dès le départ, au projet et le soutien. Les « Échos des montagnes » résonnent comme la voix du District Autonome des Montagnes et claironnent comme sa vitrine.
Quels sont les moyens humains, techniques et financiers que vous avez déployés ?
Il faut dire que le premier moyen, c’est notre passion du métier de journaliste et de la communication. C’est une année de passion, de collaboration et d’actions vécues avec abnégation dans le travail, l’amour pour le métier et la croyance en un idéal. Parfois dans la douleur car il fallait chercher et trouver les moyens pour avancer. Souvent dans la chaleur parce que ce n’est pas toujours facile de gérer les contradictions quand on possède une ressource humaine de qualité. Cependant, dans la bonne humeur car j’ai de formidables collaborateurs et une solide assistance. C’est aussi cela l’environnement du travail. Surtout, quand on le veut bien fait.
Communiquer pour développer, un an après, pensez-vous avoir accompli votre mission ?
Le développement est un processus, le travail ne fait que commencer. Nous ouvrons la voie ! Qui l’eût cru ? À sa naissance, comme ça, par un coup de passion, tant d’inquiétudes, de questionnements et de doutes. Un journal du district pour quoi faire ? Pour dire quoi ? Pour quelle utilité ? Et pourtant, tout le monde veut communiquer. Tous pensent à la communication et tous sont des redoutables plaignants quand on ne communique pas assez sur les activités et les actions du patron, l’évolution de la structure et sa mise en forme. Paradoxe avez-vous dit !
Il fallait donc mettre fin, par un travail acharné, un professionnalisme avéré et surtout, une conviction approuvée, à cet incompréhensible doute. Ceci a donc fait la marque déposée d’un tabloïde qui devient une référence. Peu à peu, par sa prestance, il s’intègre dans les habitudes des responsables de la région ainsi que dans le quotidien des vaillantes et accueillantes populations. Un peuple d’une belle et riche cité administrative qui cache, dans le secret des montagnes, son charme, tout son charme que le journal s’est donné comme objectif de faire découvrir. La mission est donc en marche !
Et demain ?
Demain, c’est le meilleur qui reste à venir !
Le mensuel « Échos des montagnes », est au service de tout le District Autonome des Montagnes, de son Ministre, Gouverneur, de ses responsables, de ses élus, de ses cadres, de ses vénérables chefs, de ses opérateurs économiques, de ses dynamiques jeunes, de ses femmes battantes, de son riche patrimoine…de sa population. Il constitue un instrument contributeur au développement que veut le chef de l’État Alassane Ouattara, et que conduit le Premier ministre Patrick Jérôme Achi et que réclame par sa supervision, Dr Albert Flindé, Ministre, Gouverneur du District Autonome des Montagnes. Le développement étant le meilleur qui reste à venir, heureux sommes-nous de dire : « Joyeux anniversaire Échos des montagnes ».
Par Fernand G. Bonta
