Le développement n’a pas de coloration partisane.

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Bonta

L’expression est souvent sur les lèvres de tous les hommes politiques et de toutes les femmes politiques. À l’évocation de la femme, qu’il soit permis, avant d’avancer dans ce propos, de rendre un hommage plus que mérité aux femmes de toutes activités, de tous domaines et de tous bords. Nous parlons des femmes charismatiques. Celles qui font avancer, par leur travail et leurs actions, la Côte d’Ivoire et singulièrement, le district des montagnes.

Plus modérées, elles savent observer la mesure qu’impose la vie sociétale. Prudente, les femmes, enclins à l’amour, sont de plus en plus portées sur le rassemblement et le rapprochement. Une de leurs caractéristiques, cela est vérifié à travers plusieurs études, est de se battre pour le bien-être de la famille, toute chose qui les pousse à penser au développement.

Le mot est lâché : développement ! D’aucuns, après ce bref regard aux femmes, verraient une sorte d’exagération, pourtant, cette lucarne répond à une démarche pédagogique. Mieux, un souhait ! Plus, une prière ! Il est question de mettre en lumière cette bonne attitude qui ne transparaît pas si souvent. Bien plus, qui passe par perte et profit. Quand on a besoin d’elles, elles sont adulées. Quand on n’en a pas besoin, elles sont ignorées. Pourtant, la vie serait pire sans leur présence rassurante, réconfortante et surtout sécurisante.

L’adage dit : « ce que femme veut, Dieu veut ». Dans la mesure où elles veulent le développement alors nous pensons que nous l’aurons si tous avaient à cœur de suivre le battement de leur cœur. C’est d’ailleurs à l’écoute de ce cœur aimant que nous avons été convaincus de célébrer les femmes qui font avancer le district autonome des montagnes. Une célébration qui se fera très prochainement.

Pour l’instant, dévoilons notre vision à travers la présente réflexion. Il aurait été académiquement bien à propos de définir le développement pour en percevoir ses différentes connotations. Cependant, l’inutilité de cette méthode nous est apparue dans la mesure où nous voulons faire appel à l’image. Nous connaissons tous les pays développés. En outre, nous savons aussi que : « la route précède le développement ». Donc, le développement apparaît ici comme le bien-être intégral de l’homme et la progression constante et harmonieuse de la société.

Pour une route bâtie, il ne sera fait obligation à aucun citoyen de décliner son appartenance politique, ethnique et même religieuse avant de l’emprunter. Au surplus, personne ne dira à une femme en couches dans un établissement sanitaire, de présenter la carte de son parti avant de pousser pour faire entendre les cris de son enfant.

Dans cette veine, les fils et filles du pays ont besoin de créer une entente entre eux et surtout, se rassembler pour une même vision. Celle de penser au progrès de leur région et surtout de penser au bien-être de leur population. Sinon, en définitive, à quoi sert la politique si les populations n’ont pas droit à un minimum de commodité ? C’est pour cette raison que nous ne cesserons pas de remercier le président de la République, SEM Alassane Ouattara qui a eu l’ingénieuse politique de rapprocher la gestion gouvernementale des gouvernés en créant le Ministère gouvernorat de district autonome pour booster le développement local à l’échelle régionale.

Les enfants du district des montagnes, face à cette actuelle réalité, doivent créer les conditions et trouver les ressorts nécessaires pour se rassembler autour du ministre gouverneur qui a les leviers du développement entre les mains. D’ailleurs, ce dernier en a fait la propriété de tous. Ainsi, il faut penser ensemble, parler ensemble et travailler ensemble pour, ensemble, arriver au développement car, il n’a pas de coloration partisane.

Par Fernand G. Bonta

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