Selon cette philosophie Houphouëtiste bien connu : « Je préfère l’injustice au désordre… », l’on peut dire que le père fondateur de la Côte d’Ivoire indépendante et moderne a fondé le pays sur trois piliers.

Ce sont, l’Union, la Discipline et le Travail. Trois mots qui ont une véritable charge émotionnelle pour les Ivoiriens qui ont connu la glorieuse époque du Président Félix Houphouët Boigny.
Par-delà l’émotion, ces mots renvoient à une conscience nationale qui a constitué le socle de la compétence de la plus importante partie de la classe laborieuse Ivoirienne. En outre, cette conscience d’appartenir à une véritable nation est symptomatique de la grandeur du pays qui est devenu, par sa belle approche au travail, un exemple en matière de progrès partagé dans la sous-région Ouest-Africaine.
À ce propos, le président Houphouët Boigny ne cessait de répéter : « Je refuse que la Côte d’Ivoire soit une oasis dans un désert ». Une façon pour lui d’impacter toute l’Afrique de l’ouest avec les richesses du pays. D’ailleurs, la Côte d’Ivoire, selon de récentes études de la banque mondiale est le pays le plus riche d’Afrique de l’Ouest en matière de PIB par habitant.
Pour évoluer en Afrique de l’ouest, il fallait nécessairement faire l’escale Abidjanaise. Ce qui fait qu’aujourd’hui, la Côte d’Ivoire a le plus fort taux d’étranger vivant dans un pays. C’est dire combien de fois l’exemple Ivoirien, basé sur l’Union, la Discipline et le Travail a permis de bâtir une stabilité légendaire de la Côte d’Ivoire. Ce qui a fait son progrès. L’intermède fâcheux de la friction des années 2000-2010 qui ont vu une folie envahir les Ivoiriens ne saurait nier cette réalité.
Plus qu’une devise donc, « l’Union, la Discipline et le Travail constituent pour la Côte d’Ivoire, des éléments stratégiques de développement.
En effet, dans l’union, il y a l’entente et la cohésion sociale. Deux axes majeurs qui engendrent nécessairement, la stabilité. Ainsi, en convenant, avec les travailleurs Ivoiriens, d’une trêve sociale, le Premier ministre Patrick Achi, tout en poursuivant de mettre la Côte d’Ivoire au travail, recrée l’accalmie et instaure la sérénité dans le travail.
Les résultats sont éloquents puisque l’indemnité contributive au logement, pour ne citer que cette mesure récemment annoncée par le chef de l’État, est désormais étendue à l’ensemble des fonctionnaires et agents de l’État.
Ensuite, dans la discipline, nous avons le respect des règles et surtout la bonne tenue en société. Ce qui peut mettre fin aux troubles et autres conflits. Enfin, il est acquis que « l’oisiveté est la mère de tous les vices ». Ce qui sous-entend que le travail permet de s’éloigner de tous les maux qui minent notre société. D’où la politique d’emplois de la jeunesse à travers le projet « emploi jeune ».
Un pays au travail, dans l’union et la discipline, est tout simplement en marche vers son développement.
Tokoré De Grand Zia