La promotion de la femme, un devoir divin et social.
Certaines femmes ont un formidable parcours qui force l’admiration. Dans cette société Ivoirienne où les traditions ont encore pignon sur rue, la rendant foncièrement phallocratique, voir des femmes, partir de rien et compter sur leur intelligence, leur courage et leur témérité pour ensuite arriver au sommet, est une exceptionnelle performance qu’il faut célébrer.
Tel est la vision de la célébration des "Étoiles des Montagnes". Il s’agit des femmes Ivoiriennes d’exception, originaires du District Autonome des Montagnes. Elles se distinguent au regard de la place qu’elles occupent dans l’actualité en Côte d’Ivoire et dans la région.
Par leur travail et l’audace qu’elles exercent pour faire avancer la Côte d’Ivoire et tout le District Autonome des Montagnes ainsi que leurs communautés, elles sont des références au niveau national. Dans le cadre de la promotion du genre, surtout du point 5 des objectifs de développement durable (ODD) et compte tenu de leur influence sur la marche du pays et de la région, elles font l’objet de la rubrique "Femme en action" des "Échos des Montagnes".
Au-delà des articles qui leur sont consacrés, la rédaction du journal a estimé qu’il faut les distinguer et faire ainsi d’une pierre, deux coups. D’abord parler de ces femmes aux énormes potentialités et vendre leur image par écrit dans le journal comme cela se fait chaque mois et dans une publication spéciale. Ensuite, poursuivre leur promotion par une distinction. Une sorte de prime d’encouragement à poursuivre leurs œuvres à travers le prix spécial d’"encouragement pour l’éclosion de la femme".
Par cette distinction tout à fait honorifique, il s’agira de promouvoir une culture des femmes de valeur dans notre pays et dans le District Autonome des Montagnes. Aussi, il est question pour la rédaction du journal "Échos des Montagnes", avec l’appui institutionnel du Ministre Gouverneur du District Autonome des montagnes, d’apporter leur infime contribution dans la poursuite de la promotion du genre en Côte d’Ivoire vu que les femmes peinent encore à être représentative dans les sphères de décision.
Par ailleurs, une maxime populaire nous enseigne que la femme et le créateur nommé Dieu ont une complicité de sorte que : « ce que femme veut, Dieu veut ». Ainsi, célébrer la femme d’exception, en plus d’être un devoir social, se double d’un impératif divin.
Tokoré De Grand Zia.